Il est classique de citer alcool et épices comme facteur aggravant de la maladie hémorroïdaire.
Mais ces facteurs ne sont retrouvés que dans moins de 15% des cas.
Pour la majorité des malades, il n’y a pas de facteur précis pouvant favoriser la survenue de symptômes hémorroïdaires.
On peut recommander simplement d’éviter la constipation (et d’éviter de pousser « fort »en allant aux toilettes), particulièrement en cas de fissure anale. Pour cela on conseille un régime alimentaire équilibré (cf : « colopathie fonctionnelle »).
La diarrhée est aussi un facteur retrouvé de déclenchement de la poussée de la maladie hémorroïdaire et de la fissure anale.